Meeting du Front de l’Opposition censuré à Pointe Noire (suite)

Posté par aep1 le 29 avril 2009

  L’INVRAISEMBLABLE  EN  IMAGES

« L’incroyable mais vrai  » western de mauvais goût qui s’était produit à Pointe Noire, ce samedi 25 avril 2008, continue à défrayer la chronique. Nombreux sont encore ceux qui n’en reviennent pas.  Pousser son cynisme, jusqu’à entraver la tenue d’un meeting parfaitement légal, en déployant la force publique sur le lieux de l’événement, alors que  les autorisations préalables avaient été délivrées par les autorités compétentes, même hollywood n’a jamais imaginé un tel casting.

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Pour ne pas tomber dans le piège tendu par le pouvoir qui cherchait la confrontation, nous avons demandé à ceux qui avaient effectué le déplacement du stade Papa Louboto de rebrousser chemin  et rentrer chez eux dans la sérénité.

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La presse a également commenté les faits, comme en témoigne ce reportage de France Ô.

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AEP FACE A LA PRESSE

Posté par aep1 le 26 avril 2009

CONFERENCE DE PRESSE du 24 AVRIL 2009 à BRAZZAVILLE

Avant de m’envoler pour Pointe Noire, j’ai tenu la veille une Conférence de Presse dans la capitale congolaise, la toute première après les assises de la honte. Conférence dont voici la teneur.

Mesdames et Messieurs de la Presse,

aepbrazzaville0012.jpgDepuis que j’ai été désigné comme candidat à l’élection présidentielle de 2009 par mon parti, l’U.PA.D.S, j’ai entrepris d’aller à la rencontre du Congo réel, celui que le Congo légal ignore et méprise. J’ai été successivement à Impfondo, Pointe-Noire et à Dolisie. Il est peut-être trop tôt pour dresser un bilan définitif de ces voyages à l’intérieur du pays. Mais d’ores et déjà, mes premières impressions confortent la certitude que j’aie sur la soif de changement de nos compatriotes.

Volontairement, j’avais choisi d’aller là où la caravane de la municipalisation accélérée était passée pour prendre la mesure des supposés progrès réalisés sur la voie du développement dans ces trois (3) départements de notre pays suite aux investissements publics massifs surévalués faits par le Gouvernement de la Nouvelle Espérance. Le résultat est proprement scandaleux. A Impfondo, à Pointe-Noire ou  à Dolisie, aucun emploi durable n’a été généré par la municipalisation accélérée, la qualité de la vie ne s’y est pas fondamentalement améliorée. Au contraire, j’ai eu le sentiment d’avoir visité des parcs d’éléphants blancs ! Ici, une école abandonnée, là un centre de santé dans l’herbe, là-bas un siège de la préfecture confisqué par la nature ! Comment a-t-on pu arriver à de telles politiques ?

La Décentralisation eût été la meilleure politique, on a préféré la contourner ! Les autres départements non visités par la Nouvelle Espérance et saisis du sentiment légitime d’injustice de la Nation à leur égard ne devraient pas être mieux lotis.

D’importantes sommes prévues pour ces investissements ont pourtant été encaissées totalement par les entrepreneurs de la Nouvelle Espérance et aucun chantier n’est arrivé à terme. Ces braves entrepreneurs qui sont souvent passés d’un département à l’autre dans la caravane de la Nouvelle Espérance ne sont ni inquiets ni inquiétés ? Ici l’impunité a atteint son paroxysme. C’est véritablement la marque de fabrique de la Nouvelle Espérance !

Mesdames et Messieurs de la Presse,

J’ai voulu commencer mon propos par l’évocation des souvenirs de mon carnet de voyage pour arriver à la conclusion que la Nouvelle Espérance est condamnée et ses tenants disqualifiés moralement, politiquement, voire juridiquement, pour conduire les affaires de notre pays. Le Peuple n’en veut plus ! Il l’a exprimé à l’occasion des élections législatives  de 2007 et des élections locales de 2008. Lors de ces deux (2) scrutins, des taux d’abstention record ont été enregistrés surtout dans les fiefs du pouvoir. Ce peuple héroïque, ce que j’appelle le peuple réel confronté à la cherté de la vie qui contraste avec l’arrogance des nouveaux riches, n’est pas masochiste au point de vouloir prolonger son bail de 7 ans encore avec en prime la misère, l’incertitude du lendemain et l’injustice. NON, ce peuple là a choisi la rupture.  Et, fait rarissime dans notre jeune histoire politique, ce peuple a choisi le silence pour manifester, pour crier sa rage contre celles et ceux qui nous gouvernent et qui font quotidiennement la « une » des grands magazines du monde entier par leur extravagance ou leur enrichissement soudain.

Dès lors, je ne suis pas surpris de voir ces hommes et femmes s’accrocher désespérément au pouvoir, en utilisant toutes sortes d’artifices légaux. Le refus du dialogue n’est que la conséquence de cette incapacité à convaincre notre peuple déjà suffisamment informé grâce aux nouvelles technologies de l’information et par son vécu  quotidien fait de pénuries, de privations, d’exclusion et d’injustice. Le vrai faux dialogue qui vient de se tenir, en réalité vrai monologue, n’a donné, comme il fallait s’y attendre, aucun résultat positif pour obtenir une élection transparente, libre et démocratique.  L’histoire retiendra des participants à ce monologue leur responsabilité dans la perpétuation d’un régime honni, de la mal gouvernance et de la corruption systématique érigées en système de gouvernement et dont les conséquences sont : les déficits chroniques et insupportables,

*en eau,

*en électricité,

*en soins de santé primaire,

*en éducation de base,

*en  infrastructures de communication,

*en cadre de vie,

*en valeurs morales et

Bien entendu, le communiqué final de ces assises de la honte conforte notre sentiment du déni démocratique par l’actuel Chef de l’Etat et son clan au pouvoir. En s’opposant à la désignation par l’Opposition de Madame Aimée GNALI MAMBOU au poste de Première Vice-présidente de la Concertation politique et en rejetant l’ordre du jour consensuellement  arrêté par l’Opposition et le pouvoir, le Président Dénis SASSOU NGUESSO s’est octroyé un droit de véto contraire à l’esprit de compromis. Les dés étant pipés, le Front des Partis de l’Opposition n’a pas cru utile de participer à cette auto-célébration. L’égo-présidence a, une fois de plus, accouché d’un monologue, ce qui n’attenue en rien l’angoisse légitime du peuple face à l’élection présidentielle à venir.

L’échec du dialogue nous éloigne de la construction de la paix prétendument chère au Président Denis SASSOU NGUESSO. Ne nous trompons pas. Pour lui, la Paix n’est qu’un slogan destiné à intimider les Congolais sous fond de traumatismes encore vivaces dans les mémoires. En d’autres termes, si vous ne votez pas pour lui, la guerre reprendra, et vous regagnerez vos forêts et vos savanes, ce qui explique certainement ces achats massifs d’armes de guerre, leur exhibition  et les multiples manœuvres militaires à travers le pays.

Face à ce refus du dialogue attribué cyniquement à l’Opposition, j’appelle notre peuple à reprendre ses droits et à exiger une élection transparente et équitable. Ce peuple et, avec lui, l’Opposition, avaient espéré un sursaut patriotique de la part du Président de la République pour privilégier l’intérêt national. Nous attendions le Président de la République au rendez-vous de l’histoire politique de notre pays. C’est le candidat Denis SASSOU NGUESSO qui s’y est présenté  et a imposé sa loi, la loi du plus fort, celle fabriquée par sa majorité issue du pays légal.

Quelle imprudence que de s’abriter derrière la Constitution ou les lois liberticides pour rejeter tout compromis politique !

Comment un Président de la République, fût-il candidat à sa propre succession, peut-il accepter, sur l’ensemble du territoire et surtout dans ses fiefs électoraux, que le nombre d’électeurs soit supérieur au nombre d’habitants ? Comment peut-il justifier la non publication du résultat du recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2007 ? Comment peut-il s’accommoder d’un corps électoral manifestement fantaisiste ? La tricherie serait-elle devenue une valeur sous l’ère de la Nouvelle Espérance ?

Je dis bien imprudence car le Président lui-même, en pratiquant le coup d’Etat permanent, par le viol systématique et conscient de la Constitution, sa Constitution, l’a rendue presque caduque. En effet, le Président de la République qui a délibérément prolongé son mandat de près de quatre (4) mois, en refusant de prêter serment vingt (20) jours après la proclamation  des résultats par la Cour Suprême (Cf. article 68), et qui refuse de déclarer son patrimoine (Cf. article 48) ou d’habiter la résidence officielle à lui affectée (Cf. article 73 al. 4), le Président de la République, dis-je, n’a aucune leçon de civisme à donner à l’Opposition, elle, qui a été placée devant le fait accompli par le Président de la République pourtant garant du respect de la Constitution.

Par ailleurs, le Gouvernement, seul maître du calendrier politique congolais, a attendu le mois d’avril 2009, c’est-à-dire deux (2) mois avant l’échéance constitutionnelle, pour enfin « accepter » d’aller au dialogue ; alors que toutes les forces vives de la Nation la réclamaient depuis 2007, suite à l’organisation chaotique des élections législatives.

Le pouvoir a manifestement joué la montre joué comme ce gardien de but qui prend des minutes pour dégager un ballon lorsque son équipe mène au score.

Dorénavant, je traiterai le Président SASSOU en candidat à l’élection présidentielle, car il a perdu sa qualité de Chef de l’Etat et, encore plus, celle de Président de la République. Le candidat Denis SASSOU NGUESSO est désormais en campagne ouvrant ainsi, avant terme, l’entrée de tous les autres candidats en campagne.

Pour sortir de l’impasse ainsi créée, un second round des négociations est plus que jamais nécessaire. Personne ne doit s’imaginer que l’élection présidentielle se fera sans l’Opposition et selon les lois dictées par et pour l’un des candidats. Qu’on ne se méprenne pas sur ma détermination à aller au bout de ce combat. 2009 ne sera pas la répétition de 2002 ! L’évidence même, c’est que les temps ont changé, n’en déplaise à une certaine presse. C’est l’intérêt de notre pays et de notre peuple. Nous ne laisserons pas le pays réel être confisqué par le pays légal, les deux doivent se marier.

C’est le moment de s’investir dans ce noble combat démocratique… C’est le moment !

Enfin, Mesdames et Messieurs de la Presse, je vous remercie pour votre bien aimable attention.

Vive la démocratie !

 

 

 

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ALERTE A POINTE NOIRE !!!

Posté par aep1 le 26 avril 2009

L’armée empêche la tenue d’un meeting de l’UPADS et le Front de l’opposition

aepdolisie0002copie.jpgEn dépit de la tenue récente de son monologue national, ce simulacre de dialogue auquel comme vous le savez, nous avons refusé de participer, le pouvoir est aux abois.

C’est la panique à bord.  Le candidat Sassou  vient de dévoiler son vrai visage.

Chercher la provocation pour créer une situation, qui lui permettrait d’allumer le feu,  pour ne pas organiser des élections libres, transparentes et équitables, et se maintenir ainsi au pouvoir par la force.

 

Voici pour les faits…

L’UPADS et le Front des partis de l’opposition congolaise devaient tenir un meeting régulièrement prévu, ce samedi 25 avril 2009 dans la ville de Pointe Noire. Au moment où la manifestation devait démarrer au stade Papa Louboto à Ntiétié, contre toute attente, entre 300 et 400 militaires investissent le stade, armés jusqu’aux dents avec comme unique message, déguerpissez ou on tire !

Pourtant, nous avions préalablement obtenu toutes les autorisations officielles délivrées par les autorités locales. Le Préfet pendant ce temps était injoignable, porté disparu dans la ville.

Que cherche le pouvoir ?

Pour ne pas céder à la provocation, nous avons demandé à des milliers des nos militants et sympathisants venus à ce meeting de se disperser.

Pendant ce temps, lui  qui se croit être l’unique propriétaire du Congo, et qui est en campagne depuis belle lurette, se balade allègrement en ce moment dans nos fiefs.

Où est la Paix tant prônée ?  Peut on parler de paix, et chercher la provocation ?

Nous disons, les temps ont changé, finie la dictature et les pratiques d’une république bananière, car le peuple congolais mérite mieux !

Nous prenons à témoin la communauté internationale et nationale.

Voici à propos, l’interview de Pascal Tsaty Mabiala,  Secrétaire Général de l’UPADS et Porte-parole du Front de l’opposition.

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C’ EST LE MOMENT !!!

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DECLARATION DE l’UPADS France Europe

Posté par aep1 le 20 avril 2009

RELATIVE AU DIALOGUE NATIONAL RATE AU CONGO BRAZZAVILLE

Au lendemain des conclusions de ce qui s’est avéré être un monologue en lieu et place d’une véritable concertation politique, l’U.PA.D.S France Europe condamne avec fermeté l’attitude du pouvoir quant au comportement hégémonique et  inadmissible qu’il affiche.

De la concertation citoyenne que les formations politiques réunies dans le front des partis de l’opposition congolaise ont longtemps exigée pour une élection présidentielle apaisée, il en est sorti un monologue du gouvernement avec ses satellites.
Notamment, une pseudo opposition qualifiée de « raisonnable » par le pouvoir qui en réalité n’en est pas une. Exclues de rangs de leurs partis pour connivence avec le pouvoir, ces quelques individualités sont gérées et entretenues par le régime.

L’UPADS  rappelle que l’élection présidentielle au Congo est source de désordres et de troubles. Le pouvoir serait bien inspiré d’arrêter ce double jeu qui consiste à jouer les colombes en parlant de paix d’une part et les pyromanes d’autre part, en imposant ses vues à l’ensemble de la population congolaise, le souverain primaire qui en a marre d’être abusé.

L’U.PA.D.S appelle le pouvoir de Brazzaville de se souvenir de ses exigences passées, entièrement prises en compte par le pouvoir démocratiquement élu du Président Pascal LISSOUBA. Pour rappel, ces assises avaient vu le pouvoir de l’époque accepter de confier la présidence de la CENI à l’opposition. La même Commission Electorale Indépendante que le pouvoir de Brazzaville refuse d’instaurer aujourd’hui.

L’UPADS fait remarquer que L’Afrique du sud qui va organiser ses élections dans quelques jours, est dotée d’une commission électorale indépendante ;  Le Ghana qui vient récemment de réussir brillamment ses élections présidentielles, en  était également doté. C’est le gage de l’équité et de la transparence ainsi que le stipulent les accords de BAMAKO dont le Congo est signataire.

L’U.PA.D.S  enseigne le pouvoir, pour l’avoir souvent expérimenté, que toute négociation, qui veut dire échanger, appelle l’intelligence des parties au respect mutuel sans lequel, les chances de sorties de crise s’amenuisent.

Pour notre pays du fonds duquel des voies s’élèvent de plus en plus contre ces pratiques, ces occasions manquées sonnent comme une alerte.

A l’approche d’un scrutin capital comme celui prévu pour juillet 2009, il est urgent que ce pouvoir se ressaisisse pour éviter une véritable déflagration aux conséquences imprévisibles.

L’U.PA.D.S qui en appelle au bon sens privilégie la négociation sans laquelle les prochaines élections,  si elles ont lieu dans ces conditions, seront vouées à l’échec et le pouvoir de Brazzaville en portera seul la responsabilité devant l’histoire.

L’UPADS  attend un véritable dialogue, constructif, réel et sincère.

Fait à Paris, le 20 avril 2009.

Anges-Eugène MABIALA
Président de la Coordination U.PA.D.S. France-Europe.

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« Dialogue républicain » : Réaction de la Coordination UPADS France Europe

Posté par aep1 le 15 avril 2009

                      COMMUNIQUE DE PRESSE

L’Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale (U.PA.D.S.) et le Front Uni des Partis de l’Opposition (FUPO), dénoncent l’attitude du pouvoir de Brazzaville quant à la conduite du dialogue républicain prétendument qualifié de « concertation citoyenne » qui s’est avéré être une réunion cadrée et close à laquelle l’opposition n’était invitée qu’à avaliser l’ordre du jour arrêté de façon unilatérale par les tenants du pouvoir.

Malgré les propositions du Front Uni qui souhaitait entre autres que le Président du présidium desdits travaux, Monsieur André OBAMI ITOU soit secondé par Madame Aimée GNALI MAMBOU représentant l’opposition, ou par une autorité morale reconnue comme telle, le pouvoir s’est obstiné dans son refus de toute suggestion qui lui a été faite.

De plus, il s’est arrangé à exclure une composante majeure de l’opposition, à savoir le CNR de Monsieur Frédéric BINTSANGOU NTOUMI, tout en incluant des éléments exclus de leurs partis respectifs (l’U.PA.D.S. Et l’UDR MWINDA par exemple).

Fort de ce qui précède, le pouvoir portera seul la responsabilité d’un éventuel échec de cette concertation que les congolais attendent depuis de longues années.

Fait à Paris, le 14 avril 2009.

Anges-Eugène MABIALA
Président de la Coordination U.PA.D.S. France-Europe.

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L’actu du Rhone Alpes

Posté par aep1 le 4 avril 2009

Mon séjour à Lyon

Du 5 au 7 avril 2009,  j’ai été l’hôte des militants de l’Upads de la section Rhone Alpes Lyon.         lespalmiers1.jpg

A Lyon, j’ai participé à l’assemblée générale de la Fédération Rhone Alpes présidée par son 1er Secrétaire, le camarade Joseph Loufouat. A cette occasion, je me suis entretenu avec la base du Parti, sur les derniers développements de l’actualité au Congo et sur les présidentielles de 2009, en rapport avec ma candidature.

Nous avons ensuite passé en revue les sujets relatifs à la vie du Parti, et au récent passage  du président français Nicolas Sarkozy à Brazzaville. Puis évoqué par ailleurs, les questions liées à la concertation républicaine, ce dialogue national entre le pouvoir et les forces politiques qui devrait se tenir incessamment dans notre pays.  Ce, après que le gouvernement ait cédé à la pression de l’opposition qui réclamait la tenue d’une réunion de concertation nationale, prélude à l’organisation des présidentielles de 2009.

Cette demande de dialoguefigurait déjà parmi  les motions du 1er Congrès extraordinaire de l’UPADS en décembre 2006. Le fait que le pouvoir ait plié face à cette exigence est une victoire qui  convient d’être reconnue et mentionnée, même si son ordre du jour va nécessiter un réexamen.

J’ai également rencontré et échangé avec nos compatriotes de la diaspora, y compris avec les non  membres de l’Upads, venus d’autres villes comme Saint Etienne,  Grenoble,  Vienne et  Valence, sur les mêmes thèmes. Rencontre ponctuée par une collation.

Ce séjour lyonnais a été l’occasion d’aller à la rencontre des autorités politiques et administratives de Villeurbanne et de Lyon. Samia Belaziz, Adjointe à la coopération internationale de Villeurbanne et Jean-Louis Touraine, Premier adjoint au maire de Lyon ont pu ainsi apprécier le point de vue de l’opposition congolaise sur la prochaine élection présidentielle. Ces rencontres nous ont permis de répéter le message à nos amis français : « c’est le moment d’agir, pour ne pas avoir à faire le médecin après la mort. Une élection juste, transparente et apaisée augurera d’une ère nouvelle pour notre pays. Et pour notre part, nous voulons rendre aux congolais la démocratie et la dignité ».

 » Voir cet extrait du quotidien local Le Progrès du 7 avril 2009 « .

                              L'actu du Rhone Alpes dans POLITIQUE pdf aeplyon.pdf

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