Accueil de AEP au Congo Brazzaville
Posté par aep1 le 26 février 2009
Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 26 février 2009
Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 24 février 2009
Invité Afrique de RFI ce 24 fevrier 2009 matin
Ange Edouard Poungui interviewé par Christophe Boisbouvier
« Si je suis élu Président de la République du Congo, il y’aura beaucoup de choses à changer. Il y a tout le système qui fonctionne aujourd’hui autour d’une personne et de sa famille, dont il faut mettre un terme, y compris la corruption et l’impunité ».
Ecouter le son: invafr2402pounguicongobrazza.mp3
Comm Dpmt
Publié dans POLITIQUE | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 23 février 2009
IMAGES et SONS
DE L’AEROPORT A LA RESIDENCE
Publié dans POLITIQUE | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 18 février 2009
Candidat à la Présidentielle de 2009
Ange-Edouard POUNGUI Face à la Presse
——— Brazzaville le 16 Février 2009 ——-
Mesdames et Messieurs de la presse nationale et internationale,
Chers invités,
A chaque chose son temps, et le moment d’un échange fécond et sincère, je l’espère déjà, entre vous et moi, est arrivé.
C’est le moment de faire une mise au point sur toutes nos préoccupations, partagées ou non.
Mesdames et Messieurs,
Je suis hanté par un espoir de changement.
L’extrait ci-après, de ma lettre de démission du Parti Congolais du travail (PCT), adressée au Président du Comité Central le 28 novembre 1990 en est parfaitement éloquente à cet égard :
Voici ce que j’écris en effet à cette époque :
« …Pour ma part, je ne suis plus en disposition de cautionner de telles pratiques et surtout de continuer de faire partie d’un système pétri de culture monopartiste et qui se montre notoirement réfractaire à tout changement et organise de fait, la résistance à toute velléité de rénovation et d’alternance … ….Je suis pour le changement, je continuerai par conséquent mon combat pour le rétablissement de notre peuple souverain dans ses droits. Voilà pourquoi, je réaffirme mon attachement à l’idée de convocation d’une Conférence Nationale, comme seul cadre où pourrait se réaliser un consensus national, autour du processus de démocratisation de la vie politique nationale …».
Comme vous pouvez le constater, mesdames et messieurs, cet engagement pris il y a dix neuf ans (19 ans), demeure historiquement, le point de départ de ma rupture totale avec un système politique forgé au fil des décennies, à travers la pensée unique et totalitaire, système incarné à l’époque et encore aujourd’hui, par le Parti Congolais du Travail (PCT), dans le rejet systématique des valeurs du pluralisme, de tolérance, de démocratie véritable, de solidarité, de paix, de liberté fondamentale, de transparence, de bonne gouvernance.
Comme nous le savons tous, mesdames et messieurs,
la Conférence Nationale Souveraine s’était bien tenue en 1991, mais si le renouveau démocratique exprimé par elle, avait consacrée la fin de la pensée unique et l’émergence d’une nouvelle ère de pluralisme politique, il n’a toujours pas permis l’assainissement des mœurs politiques. La lutte des idées se déroule encore et toujours dans l’intolérance et le non respect manifeste de soi et d’autrui. Aujourd’hui encore, je suis de plus en plus conforté dans ma vision politique de la démocratie avec l’espoir de changement qui inonde l’état le plus puissant de la planète, j’ai cité les Etats-Unis d’Amérique (USA) dont le locataire de
la Maison Blanche est de nos jours, un noir ! Cela n’a été possible dans ce pays mythique que grâce aux vertus et aux délices de la démocratie.
Au niveau de notre continent l’Afrique, qui offre encore le spectacle dégradant de tripatouillage de constitutions pour maintenir certains chefs d’Etat africains scotchés à leurs fauteuils, tout autant que l’on y voit des gagnants d’élections prêter serment devant des perdants, à l’exemple du Zimbabwe, et du Kenya, je suis fort heureusement conforté par l’exemple du Ghana, dont le peuple a librement choisi son Président, à la suite d’élections libres et transparentes. Enfin, ma vision de la politique me permet de prendre encore date aujourd’hui, et d’affirmer que la soif ou le besoin universel de démocratie des peuples modernes prendra le dessus sur la régression fatale des mœurs politiques, que certains dirigeants opposent cyniquement et avec mépris à leurs compatriotes.
Mesdames et messieurs,
Cette conférence de presse se tient un mois et demi après la fin de l’année 2008, qui a été marquée par un enchaînement de crises dont l’une entraînait l’autre, et celle d’un pays se répercutait sur l’autre.
Les progrès accomplis ce dernier siècle ont transformé notre monde en un village planétaire, et la crise financière née aux USA est devenue une crise mondiale. Un bémol a cependant été introduit dans le fonctionnement néolibéral dominant, et la responsabilité de la puissance publique dans le système de régulation a trouvé des partisans, qui y étaient traditionnellement opposés. Sur le plan économique, le monde subit une sévère crise économique et financière qui risque de se transformer en récession mondiale, et nous devons faire nôtre, l’inquiétude qui s’empare du monde, afin d’y faire face en toute responsabilité. Pour notre pays le Congo, le constat est que depuis 1998, le prix du pétrole n’a cessé de s’envoler de 16 $ à 150 $ en 2008, tandis que la production pétrolière congolaise n’a cessé de croître.
Ces données qui auraient du se traduire par une amélioration significative des conditions de vie des Congolais, se sont au contraire matérialisés sur le terrain par:
* une baisse constante de possibilités d’accès à un minimum de confort,
* un état de délabrement avancé des infrastructures urbaines et de l’équipement national,
* des pénuries endémiques d’eau et d’électricité,
* la ruine de la dignité humaine. Ce triste constat est fait en ces débuts d’année 2009, année vous vous en doutez, d’une élection majeure, capitale : l’élection présidentielle bien évidemment. Ce début d’année, comme je le disais tantôt, nous impose une sévère et responsable réflexion sur l’avenir de notre beau pays le Congo.
Il est profondément malade et il nous appartient d’apporter les changements qui vont le ramener à la vie. Qui d’entre vous et nous, en effet, ne perçoit pas l’écho insoutenable des souffrances populaires qui jaillissent de nos villes comme de nos différentes régions et villages ?
Sur le plan politique, c’est le moment de saisir l’annonce de l’élection présidentielle au cours de cette année 2009, pour imprimer un nouveau départ. Notre combat sera axé sur une exigence inlassable de démocratie.
C’est le moment d’exiger :
* un recensement administratif, permettant de déterminer au plus juste, le corps électoral
* et, l’instauration d’une commission électorale paritaire et réellement indépendante.
A ce combat, nous associons de toute évidence, l’irréversibilité de la démocratie pluraliste et la pacification réelle du débat politique, tout en évitant les dérives. C’est ainsi, qu’il nous faut :
* garantir le caractère national et républicain de nos forces armées ;
* assainir les finances publiques, aujourd’hui vampirisées dans des circuits occultes et obscurs ;
* créer des emplois ;
* diversifier l’attelage productif de notre économie ;
* mettre en œuvre une véritable décentralisation ;
* inscrire notre jeunesse dans l’avenir, avec l’espoir de l’ouvrir au monde ;
* et enfin, doter nos chercheurs d’un outil et des moyens qui les remettent dans la course dont ils ont été écartés avec mépris !
Vous l’avez compris, mesdames et messieurs, Je m’engage dans le combat de l’élection présidentielle, pour redonner au peuple congolais, la démocratie et la dignité.
Ce combat s’inscrit dans la constance de ma vision politique exprimée, je vous l’ai dit plus haut, dix neuf ans plus tôt. Ainsi donc, mon devoir de citoyen de ce pays meurtri, et d’ancien dirigeant, vous en convenez, ne peut me laisser encore longtemps indifférent au sort que la classe politique congolaise dans sa globalité, inflige injustement à notre peuple.
Cette responsabilité historique devant laquelle je ne me disculpe point, loin s’en faut, exalte mon désir d’entreprendre tout ce qui peut concourir à la réalisation des idéaux de démocratie, de paix, d’unité et de progrès. Cependant,
Mesdames et messieurs de la presse,
* Qui de vous ignore encore les multiples manœuvres frauduleuses orchestrées par le pouvoir, pour piper les dés destinés à la compétition en vue ?
* Qui d’entre vous détient, connaît et donc, peut nous produire ou nous fournir avec exactitude, les résultats officiels du recensement général de la population et de l’habitat, pourtant réalisé avec l’appui de la communauté internationale d’une part, ainsi que ceux de la révision extraordinaire et unilatérale des listes électorales, effectuées ces dernières années d’autre part ! Mon questionnement est motivé par le souci de maîtrise du corps électoral qui départagera les différents compétiteurs.
C’est le moment de rappeler que la démocratie, par essence, consacre le Gouvernement du peuple pour le peuple et par le peuple.
* Mesdames et messieurs de la presse, chers invités,
Les Grands électeurs, membres du Conseil National de notre Grand Parti, l’Union Panafricaine pourla Démocratie Sociale (UPADS), réunis en session extraordinaire les 30 Novembre et 1er décembre 2008, dans leur écrasante majorité, avaient porté démocratiquement leur choix, sur ma modeste personne, pour mener le combat de l’élection présidentielle de 2009.
Je mesure la délicatesse de ma mission, qui se confond en même temps, avec le destin existentiel d’un parti, créé par un Grand Homme, le Professeur Pascal LISSOUBA, ce Grand Homme qui est maintenu injustement et arbitrairement en exil.
Je réalise aussi le poids de ma responsabilité dans un rôle hautement symbolique, inimaginable à mon niveau, si le Président Pascal LISSOUBA, ce Grand Homme charismatique, jouissait paisiblement et normalement de tous ses droits. Mesdames et messieurs
Vous savez que le Président Pascal LISSOUBA, Président démocratiquement élu dans ce pays, est la victime principale, et la manifestation honteuse de l’intolérance du pouvoir issu du putsch d’octobre 1997, qui distribue sous fond d’allégeance, des amnisties sélectives. A ce sujet, ma quête permanente de réconciliation nationale non altérée par l’exil, a déjà fait l’objet d’une lettre ouverte adressée à Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, le 15 février 2005.
Enfin, mesdames et messieurs, ne pas avoir à choisir librement ses dirigeants, plonge le peuple congolais dans un profond désespoir. Des intimidations et menaces de toutes sortes fermentent ce désespoir et aggravent le dégoût du peuple congolais vis-à-vis des acteurs politiques.
Le défaut d’offre d’une alternative crédible, précipite la mort de la démocratie congolaise.
L’Union Panafricaine pourla Démocratie Sociale (UPADS), avec le soutien du peuple congolais, mesdames et messieurs, doit relever ce défi et utilisera tous les moyens légaux pour obtenir une élection transparente, juste et équitable.
A défaut, tout autant que mon parti et toutes les autres forces démocratiques, nous pensons qu’aucune élection n’est possible dans ces conditions. Pour ma part, c’est le moment de répéter que je ne saurais trahir le peuple congolais, mon parti et mes convictions en me prêtant à un rôle de « faire valoir ».
A présent, mesdames et messieurs, je me prête volontiers à vos questions.
Je vous remercie.
Publié dans POLITIQUE | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 15 février 2009
Le Vice Président de l’UPADS et candidat du parti à la présidentielle de 2009, Ange-Edouard Poungui est arrivé ce Dimanche 15 février 2009 en fin de matinée à Brazzaville au Congo, où un accueil délirant lui a été reservé.
La marée humaine qui était allée l’accueillir à l’aéroport international de Maya Maya, près de 500 personnes, l’ont escorté dans une ambiance carnavalesque, de l’aeropot jusqu’à sa résidence du plateau.
Dans une interview Radio télévisée accordée à Paris à la presse panafricaine, peu avant son départ il a déclaré en substance,
» C’EST LE MOMENT !!! «
L’heure de la rupture, de la relance et de l’action a sonné.
L’équipe de Campagne
Comm Depmt.
Publié dans Non classé, POLITIQUE | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 14 février 2009
Au terme d’une assemblée générale constitutive tenue à Sucy en Brie fin janvier, il a été créé un comité de soutien à Ange Edouard POUNGUI, candidat à l’élection présidentielle de juillet 2009 au Congo Brazzaville.
Le bureau du dit comité se compose de manière suivante.
1- Président : Jean Edouard SATHOUD
2- Coordonnateur de la commission communication :
Alfred Florent BISSINGOU
3- Coordonnateur de la commission Finance et Matériels :
Liliane Gabrielle SAUTHAT
4- Coordonnateur de la commission Mobilisation : Marcel MBETE
5- Coordonnateur de la commission Organisation des actions :
Martial KING BOULOUD
6- Coordonnateur de la commission Relations avec les partenaires:
Anges Eugène MABIALA
7- Secrétaire administrative : Marie POMBO
Dans une brève intervention prononcée à l’occasion de la mise en place de ce comité, monsieur Jean Edouard SATHOUD, ami du candidat depuis de très longues années, une amitié qui remonte à plus de 40ans, a évoqué les grands traits la biographie du candidat. Laquelle biographie devra être développée lorsque ce dernier sera présenté aux congolais.
De cette brève évocation, il apparaît que Monsieur Ange Edouard POUNGUI jouit d’une expérience solide en matière de gestion des hommes et des affaires publiques.
Engagé très tôt dans l’action syndicale scolaire et estudiantine, militant politique accompli, Ange Edouard POUNGUI a exercé la responsabilité d’encadrer des jeunes congolais au sein d’associations scolaires et universitaires. Menant de front ces différentes actions et sa formation universitaire, il s’est révélé un élève doué et un étudiant brillant.
Sur le plan politique, Ange Edouard POUNGUI a pris une part active à la création du parti congolais du travail (PCT), dont il fût l’un des membres éminents du bureau politique jusqu’en décembre 1990.
S’agissant de la gestion des affaires de l’Etat et des hommes, il a été successivement Vice-président du conseil d’Etat, Ministre des finances, Premier ministre pendant 5 ans.
Son passage à ces différents échelons de l’appareil de l’Etat congolais a révélé ses qualités de gestionnaire rigoureux et intègre : respect des obligations de l’Etat, tant vis-à-vis des fonctionnaires que des opérateurs économiques, absence de scandales financiers d’aucune sorte.
C’est en tant que Ministre des finances qu’Ange Edouard POUNGUI a pu conduire au nom de l’union douanière et économique de l’Afrique centrale (UDEAC) et avec Valéry Giscard d’Estain, Ministre des finances de la république française, la réforme monétaire qui a débouché sur la création de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC).
Parallèlement, désigné par ses pairs de la sous région, il a représenté l’Afrique centrale au comité intérimaire du Fonds monétaire international (FMI) de 1972 à son départ du gouvernement en 1974, en tant que chargé de la réforme du système monétaire international où il a siégé avec des personnalités telles que Helmut SCHIMTT, futur Chancelier de la République Fédérale d’Allemagne (RFA) et encore Valery Giscard Estain, futur Président de la République française.
Premier Ministre, il a surtout le mérite d’avoir amené le pays à accepter les réformes qu’appelait la situation économique difficile du Congo au milieu des années 1980.
Sur le plan technique, Ange Edouard POUNGUI a été l’un des cadres les plus compétents dans le domaine monétaire et bancaire. Et dans ce domaine, il a été successivement responsable de la BEAC au Congo et Directeur Général de la Banque commerciale congolaise (BCC).
A ces différentes phases de sa vie publique, Monsieur Ange Edouard POUNGUI a eu à gérer des hommes et des femmes provenant de différents horizons, congolais et non congolais, africains et non africains. Dans cette action multiforme, il a toujours su faire preuve de sagesse, de modération et de réalisme.
Lors de l’apparition du mouvement démocratique en Afrique au début des années 1990, Monsieur Ange Edouard POUNGUI a été l’un des rares membres du bureau politique du PCT à prôner la nécessité de l’ouverture politique de notre pays. N’ayant pas été écouté, il a préféré démissionner de ce parti pour créer quelque temps après son propre mouvement politique. Par la suite, il a noué une alliance organique avec l’UPADS et en est devenu plus tard, c’est-à-dire dans les années 2000, définitivement un membre éminent. Il est actuellement Vice-président de l’UPADS et c’est à ce titre qu’il a été élu candidat de ce parti par le conseil national.
Compte tenu de ce qui précède, il est apparu nécessaire de s’organiser pour faire aboutir cette candidature jusqu’à la victoire. D’où la mise en place du comité de soutien pour conduire cette mission.
Le Comité de soutien
Publié dans POLITIQUE | Pas de Commentaire »
Posté par aep1 le 5 février 2009
Ange-Edouard POUNGUI
Vice président de l’U.P.A.D.S.
Candidat à l’élection présidentielle de 2009
Etat civil :
Né le 4 janvier 1942 à Mouyondzi
Fils de Moungondo Casimir
Et de Moundongo Agnès
Marié Père de 8 enfants
Profession : Directeur de Banque
Études :
Licence en droit ancien régime
Centre d’Enseignement Supérieur de Brazzaville (CESB) : 1969.
Cursus Professionnel
1994 – 1998 Directeur National de la Banque des États de l’Afrique centrale.
1979 – 1984 Directeur Général de la Banque Commerciale Congolaise.
1975- 1979 Directeur Adjoint au Directeur National de la Banque des États de
l’Afrique centrale
1975 – 1976 Stage au siège de la Banque Centrale à Paris.
1973 Détachement auprès de la Banque des États de l’Afrique centrale, et
nomination comme Fondé de Pouvoir.
1970 Titularisation au grade d’administrateur des SAF en catégorie AI.
1969 Intégration à la Fonction publique, en 1969, en qualité d’attaché des SAF en catégorie AII suivie de stages auprès successivement, de la Banque des États de l’Afrique centrale et du Cameroun (devancière de l’actuelle BEAC), de la BNDC et de la BCC.
Fonctions électives
2008 Conseiller départemental de la Bouenza
1992 Député de Madingou
1991 – 1992 Conseiller de la République au sein du Conseil Supérieur de la République à l’issue de la Conférence Nationale Souveraine.
Fonctions ministérielles et d’Etat
1989 – 1991 Président du Conseil Économique et Social.
1984 – 1989 Premier ministre.
1972 -1973 Vice-président du Conseil d’État, ministre du Plan, des Finances et du budget.
1971 – 1973 Ministre des Finances et du Budget.
Fonctions politiques
28 novembre 1990 Démission du Parti Congolais du Travail (PCT) remise en main propre au Président du Comité Central de ce parti
30 septembre 1976 Membre du Comité Central du Parti Congolais du Travail.
Mars 1970 Membre du Bureau Politique du Parti Congolais du Travail, Chargé des Finances et Matériels à l’issue du Congrès Extraordinaire de Mars 1970
Décembre 1969 Membre du Bureau Politique, Membre titulaire du Comité Central du Parti Congolais du Travail, Chargé des Finances et Matériels à l’issue du Congrès constitutif du Parti Congolais du Travail.
31 décembre 1968 Membre du Directoire du Conseil National de la Révolution C.N.R., Secrétaire chargé des Relations Extérieures.
5 Aout 1968 Membre du Conseil National de la Révolution C.N.R.
1966- 1968 Membre du Conseil National de la Révolution C.N.R.
1963 -1964 Président de l’Association Scolaire du Congo (ASCO)
Publication : A cœur ouvert pour le Congo Brazzaville mon beau pays – L’Harmattan. 2008
Distinctions honorifiques
Grand Officier de l’Ordre National du Mérite Congolais
Commandeur l’Ordre National du Mérite Français
Autres activités Jardinage, Musique, Littérature, Informatique & jogging
Publié dans Non classé, POLITIQUE | Pas de Commentaire »